Pourquoi le développement de logiciels est-il important ?
Le développement de logiciels est important parce qu'il est omniprésent. Il existe peu de produits de notre quotidien aujourd’hui qui n’embarquent pas de logiciel - des voitures aux machines à laver en passant par les thermostats - avec un Internet des objets en pleine expansion qui les relie. Le logiciel s'est même imposé comme un facteur de différenciation essentiel.
Quelques exemples :L’éducation : il est difficile aujourd’hui de concevoir un programme éducatif qui ne repose pas sur un support d’apprentissage logiciel. En particulier pour la formation professionnelle, les outils de e-learning ou serious-games sont devenus incontournables. C’est ce que propose le CEREMA avec ses serious-games sur le site batiment-ventilation.fr dédiés à la qualité de l’air intérieur.
Dans un secteur aussi concurrentiel que la fabrication industrielle des systèmes de ventilation , il faut suivre ce qui se passe sur le marché. Comprendre que la fourniture de nouvelles caractéristiques et fonctions aux applications de sélection et de paramétrage des unités de ventilation est essentielle pour obtenir et conserver une longueur d'avance. Pour ce faire, le leader italien des systèmes de ventilation, Brofer, a développé un configurateur sur le cloud mis à disposition de ses clients et revendeurs et a adopté un modèle de développement DevOps. Il en résulte des cycles de développement accélérés, une mise sur le marché plus rapide et la possibilité de s'adapter à la croissance future.
Nous passons près de 90% de notre temps en intérieur. La qualité de l’environnement intérieur est donc primordiale. Pour s’assurer des bonnes conditions de vie et de travail dans les espaces intérieurs, il est donc impératif de pouvoir mesurer en continu les différents paramètres et d’alerter en cas de dérive. La start-up française GreenMe a développé un objet connecté, un cube à l’aspect ludique, destiné à équiper les bâtiments pour suivre des facteurs tels que la qualité de l’air, le confort hygrothermique, le confort visuel ou encore le confort acoustique. Et comme les occupants sont les premiers concernés, le petit cube collecte également leur ressenti afin de faciliter la communication entre la maintenance technique du bâtiment et les usagers. Cette approche, qui allie l’humain à la technologie logicielle, s’inscrit de plus parfaitement dans une démarche d’économie d’énergie puisqu’elle permet de sensibiliser les résidents sur les bonnes pratiques et également de détecter rapidement les anomalies de comportement du bâtiment.
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